AGRICULTURE: Les paysans de Kaback victimes des eaux

Les agriculteurs travaillant sur le long de la digue de ceinture ou de protection de l’île de Kabackou Kabaki en Soso, dans la préfecture de Forécariah,en Basse Guinée, sont sans résultats positifs de leurs cultures agricoles cette année 2013, à cause de la détérioration très avancée de ladite digue qui favorise du coup l’envahissement des produits vivriers par des eaux salines. De Konimodia dans Boolè à Matakan, en passant par Bossimia, Bomodia, Kaamème et Bakiayé, seules la tristesse et la désolation se lisent sur les visages des paysans.   "Un agriculteur, après une saison agricole, qui se retrouve sans riz ni autres produits provenant de la terre, se demande que faire pour survivre...", dira en substance l’une des victimes, Alsény Goulidi Soumah pour qui: "Mais cette année, nous qui travaillons sur le long de la digue de ceinture, on n’a pratiquement pas d’espoir dans la mesure où les cultures qui nous font vivre n’ont rien donné sous l’effet des eaux ". Les trois grandes cultures couramment pratiquées à savoir, le riz, la pastèque et le gombo qui constituent la nourriture de base et les sources de revenus, sont plus que rares. Comme solution à ce problème, Soumah Alseny Goulidy et toutes les personnes victimes que l’AGP a pu rencontrer, sollicitent l’appui du gouvernement guinéen qui a récemment promis la reconstruction de cette digue qui garantit la vie de ces insulaires. Elle sollicite également le soutien des institutions internationales ainsi celui des personnes de bonne volonté... 1:36 21-12-2013

Les agriculteurs travaillant sur le long de la digue de ceinture ou de protection de l’île de Kabackou Kabaki en Soso, dans la préfecture de Forécariah,en Basse Guinée, sont sans résultats positifs de leurs cultures agricoles cette année 2013, à cause de la détérioration très avancée de ladite digue qui favorise du coup l’envahissement des produits vivriers par des eaux  salines. De Konimodia dans Boolè à Matakan, en passant par Bossimia, Bomodia, Kaamème et Bakiayé, seules la tristesse et la désolation se lisent sur les visages des paysans. 

‘’Un agriculteur, après une saison agricole, qui se retrouve sans riz ni autres produits provenant de la terre, se demande que faire pour survivre...’’, dira en substance l’une des victimes,  Alsény Goulidi Soumah pour qui: ‘’Mais cette année, nous qui travaillons sur le long de la digue de ceinture, on n’a pratiquement pas d’espoir dans la mesure où les cultures qui nous font vivre n’ont rien donné sous l’effet des eaux ’’. 

Les trois grandes cultures couramment pratiquées à savoir, le riz, la pastèque et le gombo qui constituent la nourriture de base et les sources de revenus, sont plus que rares. Comme solution à ce problème, Soumah Alseny Goulidy et toutes les personnes victimes que l’AGP a pu rencontrer, sollicitent l’appui du gouvernement guinéen qui a récemment promis la reconstruction de cette digue qui garantit la vie de ces insulaires. Elle sollicite également le soutien des institutions internationales ainsi celui des personnes de bonne volonté.

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